lundi 29 février 2016

Fabrice Torrito pide apoyo para la Fiesta de los toros



Fabrice Torrito, el Mayoral de la ganadería del Marqués de Albaserrada, pide apoyo para acudir a la gran manifestación a favor de la Fiesta de los toros en Valencia el próximo 13 de marzo.

vendredi 26 février 2016

La course d'Aignan sur "La Dépêche"


Le quotidien "La dépêche" de la région toulousaine, annonce la corrida d'Aignan dans son édition du jeudi 11 février.

Cliquez sur la photo pour agrandir.

jeudi 25 février 2016

Séjour Torrito Afición à Aignan


TORRITO AFICIÓN À AIGNAN

A l'occasion de la corrida du Marquis d'Albaserrada le dimanche de Pâques à Aignan, l'Association organise un week-end dans le Gers.

Afin de ne pas être trop rigide, déplacement et hébergement sont libres.


Programme du week-end :


Samedi 26 mars

Départ de Nîmes à 6h00 (se mettre en contact avec nous pour organiser du co-voiturage)

Rendez-vous à 11h00 à la ganadería de l'Astaracchez Jean-Louis Darré (Le Cantau, chemin de la rouge, 32 300 Bars)

Accueil par l'éleveur, verre de bienvenue, visite des installations, visite des parcs à vaches et taureaux, apéritif tapas et déjeuner gascon (50 €)

Soirée libre


Dimanche 27 mars

Journée complète à Aignan. Tarif groupe : 73 €.

Petit-déjeuner gersois (œufs ventrèches, novillade nonpiquée, repas, corrida (place non couverte) et tertulia.

Soirée libre dans Aignan


Lundi 28 mars

Course Landaise


Les réservations seront validées à réception d'un chèque (ordre Torrito Afición) auprès de Ghislain Durand, 267 Lou Camp de Baous, 30 440 Sumène. Tél : 06.66.43.08.44

Liste des différents hébergement (gite, camping, collège, hôtels, ...) disponible en contactant l'Association à l'adresse : torritoaficion@gmail.com

samedi 20 février 2016

jeudi 18 février 2016

Présentation de la corrida d'Albaserrada à Aignan


Thierry Cazaubon, Fabrice Torrito,
François Daroux et Jean-Louis Darré
(Photo Paul Hermé)

Très belle réussite pour le club taurin "Aignan et Toros", qui autour de son hyper actif Président Paul Bergamo a réuni 200 personnes pour la présentation de la journée des Pâques taurines 2016.

Article de Paul Hermé sur "Torofiesta.com" :

http://www.torofiesta.com/index.php?option=com_content&view=article&id=4293:2016-02-12-10-07-33&catid=1:nouvelles


lundi 15 février 2016

Mirandilla en Tierra y Mar



L'excellent programme à caractère écologique "Tierra y mar" de la chaîne régionale andalouse Canal Sur a diffusé hier dimanche un reportage sur la Finca Mirandilla avec pour thème : "Comment peut survivre aujourd'hui un élevage de taureaux de combat comme celui d'Albaserrada alors que le négoce des corridas est en très forte baisse".

Pour voir le reportage, cliquez sur l'image du hau. A partir de 17'30'' jusqu'à la fin.

Fabrice Torrito avec Elena Cano la réalisatrice
et Susana Ruiz la présentatrice

mercredi 10 février 2016

Les Journées Torrito Afición de Marc Levieuze (2º partie)



2º partie : La magie du campo

Il me tarde vraiment  le lendemain pour la fête de l'herradero. Mais avant de regagner mon hôtel et de me restaurer d’un succulent Rabo de Toro chez Salvi, passage obligé à la Bomba (pour les initiés que vous êtes), découverte des nouvelles sculptures de l’artiste maison avec ses commentaires et….allons une, voire deux copas de Mosto de leur propriété.

Le rabo de toro façon Salvi
Impatient le lendemain, je me lève et après mes ablutions, me dirige pour mon petit déjeuner vers un authentique petit bistrot de la place Bernabé Cebello où la télévision hurle à tue-tête et où les commentaires sur le dernier match de foot vont bon train.

L'herradero

Lever de soleil sur Mirandilla

Les fers sont chauds

Le colosse de la maison à son aise

Au suivant de ces messieurs ...
Mais toutes les bonnes choses ont une fin et après un bon apéritif et un délicieux ragoût de toro de l'élevage (la Mirandillada) l’heure est venue de nous séparer. Qui pour regagner leurs contrées varoises, d’autres pour achever quelques menus travaux en cours à Sanlucar

Tous partis ?  Non ! il reste encore un irréductible gaulois andalou qui souhaite encore  prolonger ces minutes de bonheur au campo, tel l’une des futures myriades de  mouches qui saison venue viendront s’accrocher au museau du bétail.

Fabrice me donne donc rendez-vous le lendemain matin pour une énième balade dans le campo. Je n’en demande pas moins et pars me reposer l’esprit serin car ici l’odeur du toro et de l’herbe fraîche sont le meilleur des somnifères.

Il faut dire que notre obstiné mayoral a une revanche à prendre sur un petit effronté et sa mère qui lui ont résisté en fin d’après-midi la veille.


Lever de soleil sur le palmier du cortijo

Le jour se lève à nouveau sur Mirandilla. Et après un délicieux café offert en cuisine (hihihi, lui seul comprendra car le sel n’a pas le même goût que le sucre) par Fabrice , me voilà parti à nouveau à ses côtés  dans un Paris-Dakar taurin.

Mon précédent commentaire sur le blog suffira à vous éclairer sur l’aventure (seules manquaient les illustrations) :

"Si ce ne fut cette fâcheuse blessure de Serge (risques du métier, à qui l'on souhaite un prompt rétablissement), comme de coutume journée d'aficion et de passion enchanteresse sous l'égide passionnée de Fabrice et ses compagnons du Campo. Cerise sur le gâteau le lendemain au petit matin j'ai pu jouir du combat entre le mayoral et un futur N° 8500 fort récalcitrant et brave sous la "pique...ure" et défendu par une mère qui ne s'en laissait pas compter obligeant notre mayoral à abandonner face à une charge très prévisible. Ce dernier toutefois après une faena dans le campo faite de bosses, de slalom et grande patience y un temple suave réussit à "reseñarle" dans la forme.  Un pur bonheur cher ami. ce N°8500 sera à suivre de près)...."

Le nouveau-né est pris
Malgré une première dose de camomille/verveine façon secret maison, rien à faire. Pas envie de dormir et maman !!! "au secours" à grand force de meuglements. Prends garde à toi mayoral!!! et le plus sage est de laisser raison à une mère fort peu amène et fort bien armée ...

Au secours maman!!!
Un argument non négligeable
l'armure de la mère
Obstiné et têtu sont parfois des qualificatis péjoratifs. Dans le cas présent si TU ne l’es pas tu ne seras jamais mayoral.

De longues minutes plus tard au grand dam d’une colonne vertébrale souffreuteuse mais ô combien anethésiée par le spectacle, Fabrice parvient enfin à le dénicher bien caché par sa mère, au fond d’un buisson improbable. Quel flair mayoral. Meilleur qu’un chasseur de morilles disparues depuis longtemps de nos Pyrénées.
Le veau débusqué
Mais le travail est fait et notre insomniauqe n° 8500 toujours éveillé, qui par sa bravoure sous les "pique…ures" nous réservera de belles surprises, s’en va rejoindre sa mère fort dépitée de n’avoir point trompé le "renard du campo".
La colère d'un brave humilié
Sur le chemin du retour, Fabrice ouvre quelques barrières. Je comprendrai plus tard car il prépare les nouveaux espaces dans lesquels vont être lachés nos jeunes amis d’hier pour se guérir du stress et du traumatisme du fer d’Albasserada.
Les veaux marqués la veille
Midi vont bientôt sonner au clocher de Gerena. Il est temps de reprendre la route cap au sud vers ma nouvelle vie andalouse dans ma belle ville de Málaga. Si vous passez par là un jour, un amoureux de l’Animal noble vous attend, et ne ratez surtout pas la visite de l’un des plus beaux musés consacré à notre passion commune le C.A.T en plein centre historique, qui sur trois étages vous présente les trésors de la collection privée Juan Barco.

Il est temps désormais de nous dire rendez-vous une prochaine fois à Mirandilla sans oublier de remercier Maruchi (si je puis me permettre de la nommer ainsi) pour son sourire chaleureux et son hospitalité.
Montre gousset de Juan Belmonte
La passion n'a pas d'âge. Pour preuve, ce souvenir de l'un de mes premiers passages à Mirandilla en novembre 2014, en hommage à Monsieur Chavanieu.

La caste de Chacha

lundi 8 février 2016

Les Journées Torrito Afición de Marc Levieuze


Marc Levieuze est un aficionado Toulousain qui vit à Malaga depuis quelques années et est membre de l'Association. Il nous propose de nous raconter ses impressions des dernières journées Torrito Afición qu'il a vécues avec passion.

Marc Levieuze devant ses
azulejos familliaux à Mirandilla


Sagesse, Force et Beauté

1º partie, les arènes du Soleil d'Or


1959 du haut de mes sept ans, guidé par la main ferme et protectrice de mon père mes petites jambes me portent vers ce qui va devenir dans mon cœur : l’Aficion.

Au milieu d’une foule bigarrée composée en grande partie d’espagnols venus se réfugier ici quelques années plus tôt, par le fait d’une triste page de l’histoire, je gravis les marches trop hautes pour moi, qui me mènent vers le Soleil.
En cette belle fin d’après-midi d’automne l’ocre du sable et la lumière de Las Cinco de La Tarde m’éblouissent.

J’y suis enfin dans le temple de ce qui était en ces années l’une des plazas française les plus réputées où les plus grands maestros nous ont offert leur Art.
Dans ce quartier, dit populaire à l’époque et depuis fort prisé des promoteurs immobiliers, s'élevaient les Arènes du SOLEIL d’OR.

J’ai grandi dans ce quartier et dans la cour de récréation de la communale, nombre de mes amis s’appelaient déjà Paco, Pepe, Juan, José…. qui par le paradoxe de leur naissance toulousaine, à l’inverse de leurs parents, ponctuaient leurs phrases par des « Putain Cons.. » tonitruants prononcés avec un typique assent toulouzing ... con.

Notre « petit TORO » local Claude NOUGARO, ne chantait-t-il pas si bien dans Ô Toulouse : « Ici l’Espagne pousse un peu sa corne »
Journaliste de son état, mon père « couvrait » toutes les courses de la Temporada du Sud Ouest. A ce titre nous avions donc droit, juste  sous la Présidence, à une place contra-barrera avec vue imprenable sur le Coso.

Ce jour de 1959 le virus m’était inoculé. Par la suite jusqu’à cette triste année 1976, je n’en ai pas raté une et cette passion m’ayant permis, au cours de tertulias mémorables, de nouer des liens d’amitié. J’eus l’insigne honneur de pouvoir assister aux dernières courses accoudé à la talenquera…mais assez proche du second refuge je vous l’avoue.

Pour d’obscurs intérêts immobiliers et électoraux dûs à  la naissance déjà des mouvements anti-corrida, la municipalité de l’époque tirait un trait définitif sur la page de l’histoire taurine toulousaine, commencée malgré tout des siècles plus tôt dans les arènes romaines proches de l’actuel l’hôpital Purpan où quelques maestros infortunés reçurent quelques soins.

Mais qu’à cela ne tienne, il en faut plus pour vaincre le Virus et je vous épargnerai la litanie des nombreux gradins inconfortables ou par la suite j’ai posé mes fesses douloureuses, mais le regard toujours émerveillé et les oreilles grandes ouvertes au son des trompettes ou du bruit des sabots sur le sable et des injonctions du Maestro.

Je vous sens un peu las, cher lecteur ! Mais quand est-ce qu’il va nous parler de Mirandilla ? Patience que diable, un toro ne grandit pas en un jour n’est-ce pas Fabrice !!!
Mirandilla se rapproche de nous. ça va venir.

Depuis bientôt quinze ans je suis venu passer de fréquents séjours à Malaga, et ce n’est donc pas sur le coup de tête irréfléchi du retraité qui veut mollement s’avachir sous le soleil de la Costa del Sol, que j’ai décidé d’y poser mes valises.

Andalousie magique. Tu m’as adopté, mais pour cela il faut te séduire et aller vers toi par ces petits chemins caillouteux bien souvent, source de souffrance des pneus et des amortisseurs, le dédale des ruelles des pueblos où souvent les portières frottent tes murs. Si tu décides de venir vivre ici, deux choix s’offrent à toi : les plages bondées de touristes nordiques roses comme des gambas ou bien la découverte du cœur de la province, de ses Sierras, du Campo, des oliviers et de ses villes enchanteresses ayant conservé toute la luxuriance et l’influence architecturale mauresque.
Je vous laisse deviner mon choix.

La vie vous offre des opportunités qu’il ne faut surtout rater. Au hasard d’un mariage sévillan auquel il était invité, l’un de mes meilleurs amis, qui n’y connait absolument rien en toro me dit : « extraordinaire, fantastique (blablabla…) et tu sais, au milieu des festivités plusieurs choix nous étaient offerts, Dont LA VISITE d’une ganaderia » vous vous doutez bien que mon oreille s’est immédiatement dressée et c’est ainsi que mes pas m’ont guidé vers ALBASERRADA et donc Mirandilla.

Bien que d’un naturel assez timide et réservé pour quelqu’un du sud-ouest, comme l’on dit chez nous « çà passe où çà passe pas » Comment voulez-vous que cela ne passe pas à Mirandilla.
Immédiatement, on tombe sous le charme de la sagesse, du calme et de  la passion transpirante de Fabrice. En médecine on vous dit qu’un virus reste toujours tapi quelque part dans vos cellules prêt à se réveiller. Je peux vous le confirmer.

Remontez un peu plus loin dans les pages du Blog de Fabrice cela m’épargnera de vous conter les moments de rêve vécus depuis 2014 au Campo en votre compagnie, ou parfois seul privilégié aux côtés de Fabrice dans sa voiture au contact presque charnel de l’animal roi.
La Force à l’état pur.

27 janvier 2016. Tout y est. Retour à Mirandilla, retrouvailles avec Fabrice, et Hop en voiture. Le mayoral comme au quotidien part respirer Sa dehesa avec toutefois derrière la tête l’idée de repérer une ou un nouveau venu.

Et cela ne manque pas.  Je n’en reviens pas, moi le myope que je suis, de l’acuité visuelle, du flair et de la dextérité de l’homme. Bien, c’est fait, bon dodo, rangeons la sarbacane et retour au cortijo avec le sentiment du devoir accompli.

Nouveau né repéré



Fais dodo ...





jeudi 4 février 2016

Soirée Torrito Afición à Nîmes




Notre Mayoral, Fabrice Torrito nous fait l'honneur d'être parmi nous le weekend  du 12 et 13 Février 2016.

Dans le sud Ouest le vendredi soir pour la présentation de la feria d'Aignan et sur Nîmes, le lendemain, chez nos amis de COL Y TOROS au sein de leur bodega.


Afin de partager ces moments d'aficion à los "Toros", je vous invite tous, à se   retrouver au 10 Rue Tédénat à Nimes, chez COL Y TOROS en compagnie de Fabrice et Robert PILES (apoderado d'Alberto Lamelas, un des matadors de la course) qui échangeront sur cette journée taurine d'Aignan qui se déroulera le dimanche 27 mars 2016.

Cette soirée sera agrémenté de Tapas y vinos. Une Tombola fera gagner à un adhérent 2 places pour la corrida d'Aignan.
Vous trouverez ci joint le programme de cette soirée, en espérant vous y retrouver nombreux

Amicalement,

Le Président
Anthony CROUZET